De plus en plus de seniors vivent en cohabitation avec des plus jeunes. Un mode de vie qui leur permet de lutter contre la solitude tout en accomplissant un acte solidaire.
Le concept de la colocation seniors-étudiants est très simple : créer un lien entre des générations et se rendre mutuellement service. Un logement fourni par le senior contre un petit loyer ou une présence totale de l'étudiant.
Trois formules sont proposées :
•Logement gratuit contre une présence totale de l'étudiant jusqu'au soir .
•Logement économique contre des petits services rendus et une présence régulière de l'étudiant.
•Logement avec loyer contre une présence conviviale de l'étudiant.
Voici le ste Internet où vous pourrez avoir des informatins sur la colocation. On y va.
Uneautre idée, vire entre Seniors:
Tendance venue du Nord de l'Europe, la colocation des seniors se développe en France. Une manière de répondre à la solitude et aux difficultés économiques.
L'ancien leader du FMI, décrit comme «mi-homme mi-cochon» dans l'ouvrage de l'essayiste Marcela Iacub, s'est présenté mardi devant la justice pour en demander l'interdiction.
Dominique Strauss-Kahn, décrit comme «mi-homme mi-cochon» dans le livre Belle et Bête , de l'essayiste Marcela Iacub, s'est présenté mardi devant la justice pour attaquer l'ouvrage, un «texte méprisable et mensonger», dont il demande l'interdiction. L'ex-directeur général du FMI a assigné en référé (procédure d'urgence) Marcela Iacub et son éditeur, Stock, devant le tribunal de grande instance de Paris pour «atteinte à l'intimité de la vie privée».
La justice rendra sa décision mardi soir.
Devant la juge Anne-Marie Sauteraud, l'ancien leader socialiste a déclaré que l'ouvrage était écrit «en faisant fi de la dévastation de ma vie privée, de ma vie familiale, de la psychologie de mes enfants».
Dans Belle et Bête, l'auteur relate sa liaison avec Dominique Strauss-Kahn de janvier à août 2012. Même si l'ancien ministre n'est jamais nommément désigné dans le livre, l'auteur confirme dans un long entretien au Nouvel Observateur qu'il s'agit bien de DSK, tout en précisant que l'ouvrage contient des éléments de fiction.
Dans la quiétude solennelle de la salle d'audience, tranchant avec l'agitation qui a accompagné son arrivée, DSK s'est dit «horrifié» par le procédé «malhonnête» utilisé, qui n'a «d'autre objet que mercantile». Il a demandé à la justice de mettre un «coup d'arrêt» aux pratiques d'éditeurs, de journalistes «prêts à n'importe quoi pour faire de l'argent».
Anne Sinclair, présente dans l'ouvrage également de façon anonyme et qui a rencontré Marcela Iacub, n'est pas tendre non plus. C'est «un récit trompeur et fielleux de (leur) entrevue en se livrant à une interprétation diffamatoire et délirante de (ses) pensées». «Comment, pour des raisons mercantiles, le «Nouvel Observateur» a-t-il pu descendre aussi bas dans l'abjection ?», demande-t-elle dans une lettre à Laurent Joffrin, directeur de l'hebdomadaire, et Jérôme Garcin, responsable des pages culturelles.
Suite à la découverte de viande de cheval (et non de bœuf) dans des lasagnes à la bolognaise de Findus, la marque s’engage à effectuer un test ADN pour l’ensemble de ses plats à base de viande de bœuf.
En attendant un approvisionnement exclusif en Viande Bovine Française. Afin de communiquer sur ces nouvelles mesures, Findus a choisit le support presse.
Il s’agit probablement du 1er acte de communication de crise majeur de la part de Findus. Suffira-t-il à rétablir la confiance des consommateurs dans ses produits ?
Des photos d'affiches, reprenant la charte graphique de la marque, ont fleuri sur Internet ce week-end...
Coup de génie ou coup de pub? C'est la question qu'ont certainement dû se poser de nombreux internautes, ce week-end, en voyant se répandre sur les réseaux sociaux les photos d'une prétendue affiche Findus, rapporte Le Parisien.fr.
Car sur ces clichés, qui présentent des affiches placardées sur des abris bus ou des murs, tout sonne vrai. Logo, fond rouge, typo... Tout, excepté peut-être le slogan, qui dénote légèrement. En blanc sur fond rouge, on peut ainsi lire «Chez Findus, nous sommes très à cheval sur la qualité et la provenance de nos ingrédients».
Un slogan qui fait un peu tâche, alors que la marque est impliquée depuis quelques jours dans le scandale de la viande cheval.
Et pour cause, puisqu'il s'agissait en fait d'un «fake». Contacté dimanche par Le Parisien.fr, Matthieu Lambeaux, directeur général de Findus France, l'a confirmé. «Il s'agit d'un détournement réalisé par une agence en manque de notoriété qui, illégalement, fait croire que nous aurions fait cette affiche.
C'est dommage que certains profitent de ce sujet pour se faire connaître, nous explique-t-il. On a certes de l'humour chez Findus mais je trouve que le sujet est suffisamment sérieux pour ne pas faire de blagues», a-t-il expliqué.
Par définition, une maison écologique est une maison plus respectueuse de l’environnement. Cela peut se réaliser de différentes manières, en fonction de votre situation, de vos moyens et de vos envies. En gardant à l’esprit qu’il s’agit aussi d’une occasion de réaliser de substantielles économies… voire de bénéficier d’aides financières non négligeables !
Verte, écologique, bioclimatique, autonome…
Il existe autant d’appellations que de solutions envisageables pour un habitat prenant davantage en compte l’environnement. Idéalement, celui-ci doit à la fois permettre d’émettre le moins de polluants possible, tout en réduisant ses besoins en énergie et les pertes qui y sont liées. Pour cela, on va pouvoir agir à la fois au niveau de la conception du bâtiment, de ses installations (eau, chauffage notamment), ou du type de matériaux utilisés.
Regardez le reste de la définition ici. Regardez le guide de la maison écolo.
En vidéo:
Une maison écologique à Montagnole en Savoie : a été constuite avec des matériaux innovants en matière d'économie d'énergie. Cette maison consomme peu d'énergie en hiver grâce à son isolation et elle permet une revente d'électricité à EDF en été grâce à son toit entièrement recouvert de panneaux solaires.
Mais ce type de maison est marginale en France du fait de son prix et du manque de matériaux disponibles sur place.Interview d'Alain RICAUD, ingénieur concepteur, disant qu'ils n'ont plus une seule facture énergétique, et qu'il vend à EDF une facture énergétique grâce aux panneaux solaires, avec laquelle il peut payer beaucoup de choses.Interview de Martin PLANCHER, charpentier, expliquant la structure des murs isolés.
Interview de Joannès DECOURT, climaticien, installant des pompes à chaleur et expliquant leur fonctionnement pour récupérer des calories.Suite interview d' Alain RICAUD donnant les provenances géographiques des divers matériaux composant la maison, et sur le fait que les industriels français ne travaillent pas suffisamment sur ces matériaux.
Une autre vidéo sur le thème des maisons en bois.
Voici un reportage sur la maison France 5: Découvrons ce que c'est le BBC.
Sur une planète qui vaut 5 billiards de milliards de dollars la démarche de Dan Phillips est salutaire. Il construit des maisons à partir de matériaux récupérés et aide les plus pauvres à se loger en leur apprenant à fabriquer leur maison. Ainsi il permet aussi de limiter l'impact humain sur l'immense trésor qui nous accueille.
Pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, les maisons se mettent au vert. Avec les nouvelles techniques d'isolation, les économies d'énergie sont spectaculaires.
C'est à n'en pas douter la maison du XXIe siècle : verte, écologique, ou bioclimatique, quel que soit son nom, elle connaît un boom en France.
Je ne sais pas si c'est cette actualité mais j'ai trouvé cela:
"Un adolescent de 14 ans, qui dînait dans un fast-food de la chaîne de restaurant Arby’s à Jackson, dans le Michigan, a trouvé un doigt dans son hamburger.
Ryan Hart était en train de manger un hamburger au rosbeef quand il a éprouvé une drôle de sensation au moment de mâcher.
Il a immédiatemment recraché le morceau: c’est là qu’il a découvert qu’il s’agissait… d’un doigt.
Une enquête est en cours et il apparaît que l’une des employées avait coupé son doigt dans une machine en cuisine. Elle avait quitté son poste ni vu ni connu, sans rien dire à personne.
Elle devait avoir de bonne raison … (!!!)
La mère de Ryan a expliqué que son fils était traumatisé et qu’elle allait poursuivre la chaîne de fast-food."
Et une grenouille dans une salade:
Une cliente qui déjeunait samedi dans un restaurant Buffalo Grill à Lomme (Nord-Pas-de-Calais) a découvert une grenouille morte dans sa salade, rapporte France 3 Nord-Pas-de-Calais.
"Au départ, ma femme voulait prendre une brochette de viande, mais la serveuse lui a recommandé une salade bien consistante, avec une grosse pomme de terre au four", raconte à France 3 le mari, Philippe.
"C'est quand elle a commencé à pêcher dans les premières feuilles de salade qu'elle a trouvé la grenouille. C'est étonnant que personne ne l'ait vu car c'était une grenouille plutôt imposante. Ma femme a crié. Elle a eu du mal à manger jusqu'au lendemain".
Au restaurant, "ils ne savaient pas quoi faire, ils ne savaient pas quoi dire, poursuit Philippe. On a eu du mal à trouver un responsable". "Ils se sont excusés en donnant des bons cadeaux pour des cocktails gratuits, mais qui ne sont valables qu'à condition de payer le prochain repas...
Ils nous ont conseillé de déposer un mail dans la rubrique clients mécontents. Mais on n'a toujours pas de réponse", a-t-il ajouté. La famille a quitté le restaurant sans payer les plats qu'ils n'ont pas souhaité terminer.
Voici ce dont je vous avait parlé:
Plus du quart des hommes sud-africains aurait reconnu avoir déjà commis un viol.
Des statistiques sans appel mis en lumière à la suite d'un viol collectif d'une adolescente de 17 ans dans une petite ville sud-africaine.
Viol(ence) choc. Selon des statistiques officielles, près de 65 000 infractions sexuelles auraient été commises en 2012 en Afrique du Sud et plus d'un quart des hommes a avoué avoir déjà commis un viol.
Des chiffres scandaleux qui auraient pu rester dans les placards de la police dans un pays habitué aux faits divers sordides, sans le viol collectif et la mutilation d'Anene Booysen, une adolescente de 17 ans.
L'enquête en cours a révélé que la jeune fille aurait été attirée par un groupe d'hommes avant d'être violée. Selon le témoignage cité dans le journal Cape Argus, son corps aurait été retrouvé sur un chantier, ouvert du long de sa poitrine à ses parties génitales, exposant ses organes internes.
Trop, c'est trop. Cet énième acte de violence sexuelle a choqué le pays et soulevé une forte vague de protestation. Dans des émissions de libre antenne à la radio, des auditeurs réclamaient le rétablissement de la peine de mort. Le président a quant à lui, témoigné de son indignation en déclarant que cet acte était "choquant, cruel et profondément inhumain".
Voici ce dont nous a parlé votre camarade en classe.
C'est la photo du wagon du train réservé aux femmes:
Et voici un article qui parle du viol des femmes en Inde.
Seenu se rendait chez sa grand-mère dans un village tranquille du nord de l'Inde lorsqu'elle fut kidnappée par des hommes qui la traînèrent jusqu'à leur voiture, l'emmenèrent dans un champ isolé avant de la violer à tour de rôle, en filmant la scène sur leur téléphone portable.
Après avoir dû prendre de force un comprimé, l'adolescente de 16 ans revint à elle une heure plus tard, nue, en sang, désorientée.
Lorsque son père, un jardinier de la communauté "dalit" ("intouchables") au plus bas du système de castes, apprit ce qui était arrivé à sa fille unique, il mit fin à ses jours.
Seenu (nom d'emprunt) et sa mère se rendirent plusieurs fois au commissariat le plus proche, défiant les menaces des agresseurs issus de castes supérieures, qu'elle connaissait pour certains d'entre eux.
Mais ce n'est que lorsque la communauté dalit du village descendit dans la rue pour faire pression sur la police qu'eut lieu la première arrestation, deux semaines après le viol collectif.
Sept hommes furent ensuite arrêtés.
Vivant désormais sous la protection de six policiers avant le début du procès le mois prochain, Seenu confie aujourd'hui à l'AFP que les victimes de viol ont du mal à dire ce qu'elles ont subi "parce que la police ne les respecte pas".
"Ca me met tellement en colère. Pourquoi la police n'écoute pas? Pourquoi ne font-ils pas leur métier? Pourquoi doivent-ils humilier la fille ou lui donner l'impression que c'est de sa faute si elle a été violée?", s'insurge-t-elle à voix basse pour que les policiers tout proches ne l'entendent pas.
Le viol collectif d'une étudiante de 23 ans dans un autobus à New Delhi, puis sa mort, ont bouleversé le pays et de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer la façon dont la police et la justice méprisaient les affaires de violences sexuelles.
Face à l'émotion suscitée par l'agression du 16 décembre, le gouvernement a annoncé une série de mesures pour renforcer la sécurité des femmes, en augmentant notamment les patrouilles de nuit à Delhi et le nombre de femmes dans la police, qui ne représentent aujourd'hui que 6,5% des effectifs.
L'Inde manque cruellement de policiers, avec 129 officiers pour 100.000 habitants, selon les chiffres de 2010 publiés par le Bureau des Nations unies sur les drogues et la criminalité.
Aux Etats-Unis, on compte 227 policiers pour 100.000 habitants.
Dans de nombreuses affaires de viol, la police fait souvent preuve des mêmes préjugés qui prévalent dans la société indienne, allant parfois jusqu'à encourager certaines victimes à se marier avec leur agresseur.
La semaine dernière, un juge d'un tribunal de New Delhi a ordonné à la police de verser 25.000 roupies (350 euros) de dommages et intérêts à une victime de viol de 13 ans, pour avoir refusé de prendre sa déposition et l'avoir incitée à régler l'affaire avec son violeur présumé.
J.S. Verma, un ancien président de la cour suprême nommé par le gouvernement à la tête d'une commission pour réviser la législation en matière de crimes sexuels, a étrillé la police mercredi dernier pour son apathie et sa gestion calamiteuse des plaintes pour agression sexuelle.
Voici un autre article très intéressant sur ce thème.
Nous en avions parlé en cours alors voici la suite des mises en cause judiciaires.
Au total, trois nouvelles mises en examen viennent d'intervenir dans l'affaire du Mediator. Elles concernent deux anciens cadres de l'Agence nationale de sécurité du médicament, Jean-Michel Alexandre et Eric Abadie. Et une ancienne salariée de Servier. Ces mises en examen ont été décidées les 12 et 14 février dans le cadre du volet "tromperie et prise illégale d'intérêt" du dossier.
L'onde de choc provoquée par l'enquête sur le Mediator continue : après les mises en examen de Jacques Servier et de plusieurs dirigeants de sociétés, pour "tromperie aggravée et escroquerie", voire pour "homicides et blessures involontaires", c'est au tour de l'Agence nationale de sécurité du médicament d'être touchée.
Deux anciens salariés ont été, selon nos informations, mis en examen ces derniers jours.
Le premier, Jean-Michel Alexandre est professeur de pharmacologie. Il a été l'un des hommes les plus influents en matière de médicament en France de 1980 à 2000. Il a notamment été le président de la commission d'autorisation de mise sur le marché de 1993 à 2000. Il a été mis en examen le 12 février pour participation illégale d'un fonctionnaire dans une entreprise précédemment contrôlée.
Le second Eric Abadie est diabétologue. Il a été recruté par Jean Michel Alexandre au sein de l'agence en 1994. Il a été mis en examen le 14 février pour prise illégale d'intérêt.
Enfin une troisième personne a également été mise en examen. Il s'agit de Marlène May Gamier. Cette ancienne salariée de Servier est, selon le Figaro du 25 janvier dernier, à l'origine de la création d'une société en Allemagne. Une société baptisé CRIS, en partie financée par le laboratoire et qui aurait servi d'entreprise écran entre Servier et Jean-Michel Alexandre.
Présenté comme antidiabétique mais prescrit comme coupe-faim, le Mediator pourrait avoir fait de 500 à 2.000 morts de 1976 à 2009, selon des rapports officiels. Une refonte du système de surveillance des médicaments a été décidée dans la foulée de ce scandale.
Je vous propose une nouvelle chanson, un duo qui est assez sympa, on écoute...
Avez-vous des souvenirs inoubliables?
Michel Sardou et Garou – La Rivière De Notre Enfance
[Garou] Je me souviens d'un arbre, je me souviens du vent De ces rumeurs de vagues au bout de l'océan. Je me souviens d'une ville, je me souviens d'une voix De ces Noëls qui brillent dans la neige et le froid.
[Michel] Je me souviens d'un rêve, je me souviens d'un roi D'un été qui s'achève, d'une maison de bois. Je me souviens du ciel, je me souviens de l'eau D'une robe en dentelle déchirée dans le dos.
[Garou & Michel] Ce n'est pas du sang qui coule dans nos veines. C'est la rivière de notre enfance. Ce n'est pas sa mort qui me fait d'la peine. C'est de n'plus voir mon père qui danse.
[Garou] Je me souviens d'un phare, je me souviens d'un signe D'une lumière dans le soir, d'une chambre anonyme. Je me souviens d'amour, je me souviens des gestes Le fiacre du retour, le parfum sur ma veste.
[Michel] Je me souviens si tard, je me souviens si peu De ces trains de hasard, d'un couple d'amoureux. Je me souviens de Londres, je me souviens de Rome Du soleil qui fait l'ombre, du chagrin qui fait l'homme.
[Garou & Michel] Ce n'est pas du sang qui coule dans nos veines. C'est la rivière de notre enfance. Ce n'est pas sa mort qui me fait d'la peine. C'est de n'plus voir mon père qui danse. Ce n'est pas du sang qui coule dans nos veines. C'est la rivière de notre enfance. Ce n'est pas sa mort qui me fait d'la peine. C'est de n'plus voir mon père qui danse.
Le 13 février nous fêtons la Journée mondiale de la radio — une journée pour rendre hommage à la radio en tant que moyen de communication ; améliorer la collaboration entre les diffuseurs et encourager aussi bien les grands médias que les radios communautaires à s’engager pour l’accès à l’information et la liberté d’expression sur les ondes.
Alors que la radio continue d’évoluer dans notre ère numérique, c’est encore le media qui permet d’atteindre l’audience la plus large au niveau mondial. La radio avec ses multiples fonctions peut aider les personnes, jeunes inclus, à engager la conversation sur des sujets qui les touchent. Elle peut sauver des vies en cas de catastrophes naturelles ou d’origine humaine, et fournit aux journalistes une plateforme où ils peuvent s’exprimer et rapporter l'information.
L’UNESCO encourage les pays du monde entier à célébrer la Journée mondiale de la radio par des activités réalisées en collaboration avec les diffuseurs régionaux, nationaux et internationaux, les organisations gouvernementales et non gouvernementales, les médias et le grand public.
Journée mondiale de la radio sur RFI
(01:00)
Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d'une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.
Un vecteur de liberté
Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l'histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l'occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l'épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d'état en France.
Lola nous a parlé de ces patrons qui créent du stress au boulot.
Voici un article sur un exemple du stress nau travail.
" Pendant plus de 2 ans, j'ai été le bouc-émissaire de mon patron "
Parce qu'elle refuse de faire un faux-témoignage, à 37 ans, Isabelle, contrôleur de gestion, dans une maison d'édition subit les foudres de son patron. Humiliée lors des Codir, elle tiendra deux ans et demi. La peur au ventre
Voici une solution proposé par un site: Rester Zen.
Nous avons tous eu l' expérience d'un manager intraitable, voire carrément désagréable. C'est une des grandes causes de stress au travail à l'heure actuelle.
D'autant que d'après ce que j'entends, la solution standard adoptée par grand nombre d'entreprises pour faire face aux changements économiques est de mettre plus de pression sur les employés en espérant obtenir des résultats sans rien changer au modèle où à la stratégie.
Ne sachant pas trop ce que ça veut dire "mettre la pression", la plupart des patrons et managers finissent simplement par être désagréables et insulter leurs employés.
Alors, quelle est la méthode Zen pour gérer ce genre de situations? On découvre ici comment faire.
Une autre solution: en parler.
Selon cette enquête menée par Emma Donaldson-Feilder auprès de 50 managers et 500 employés, exprimer à son employeur ce qu'on pense de lui aurait un double avantage : diminuer le stress des employés et accroître la performance du patron.
Car, relève la scientifique, «si l'on ne tend pas un miroir à une personne, comment pourrait-elle connaître ses points de faiblesse, et dès lors, pourquoi changerait-elle ?» Induire un changement positif de comportement chez le dirigeant, donner le sentiment aux salariés qu'ils sont écoutés, telles sont les vertus du dialogue prôné par la British Psychological Society.
Un constat confirmé par Didier Rousseau, président du cabinet de conseil Weave : «Le monde se complexifiant, les entreprises ont davantage besoin d'un management de proximité. Le décryptage des enjeux décisionnels, l'explicitation des objectifs fixés permettent de faire émerger une intelligence collective.»
Par ailleurs, le rapport des salariés à l'entreprise se modifie, principalement sous l'effet de l'arrivée de jeunes recrues.
FRONT NATIONAL - Un parti comme les autres. Selon le baromètre annuel de TNS-Sofres dévoilé ce mercredi 6 janvier, l'adhésion aux idées du FN se stabilise à son plus haut niveau (32%) de son histoire et son image s'améliore, tout particulièrement auprès des sympathisants UMP.
Et ce même si une nette majorité de Français (67%) n'envisage pas de voter "à l'avenir" pour le parti d'extrême droite et rejette ses solutions.
Selon ce sondage pour France Info/Le Monde/Canal+, 32% de Français se disent "tout à fait" (6%) ou "assez" (26%) d'accord avec les idées du Front national, un chiffre en hausse d'un point sur un an, tandis que 63% sont en désaccord (26% "plutôt", 37% "tout à fait").
Dans l'historique des enquêtes similaires de l'institut, une adhésion à 32% n'avait été atteinte qu'en octobre 1991. Elle se situait à 28% en mai 2002 et a connu un bond de 14 points depuis 2010. "Ce qui est frappant, c'est qu'il n'y a pas de décrue post-électorale" comme cela pouvait être le cas après les présidentielles de 1995 ou de 2002, souligne à l'AFP Emmanuel Rivière, directeur du département Opinion chez TNS-Sofres.
L'analyste pointe une conjonction nouvelle entre "un niveau d'adhésion élevé aux idées frontistes, un étiage électoral haut (17,9% à la présidentielle) et un niveau bas de ceux qui considèrent le FN comme un danger".
Le parti d'extrême droite ne "représente un danger pour la démocratie" qu'aux yeux de 47% de sondés (-6), passant pour la première fois sous la barre des 50%. Chez les sympathisants UMP, le chiffre passe à 39%.
De même, 35% des sondés -- 40% à l'UMP -- jugent désormais que le FN "est un parti qui a la capacité de participer à un gouvernement", en hausse de 10 points sur deux ans. Il faut dire qu'en l'espace d'un an, le parti d'extrême droite a flirté avec les 19% des voix à l'élection présidentielle, envoyé deux députés à l'Assemblée nationale malgré un mode de scrutin défavorable et entrepris un effort de modernisation de son logiciel politique, sans pour autant toucher aux fondamentaux de sa doctrine nationaliste.
L'apparition sur la scène nationale de personnalités moins estampillées "extrême droite" comme l'avocat Gilbert Collard ou la jeune Marion Maréchal Le Pen y ont contribué.
Une bonne nouvelle pour la présidente du Front national qui voit ici sa stratégie de dédiabolisation (sans rompre avec les fondamentaux de son parti) couronnée de succès.
Je vous propose un article sur le rassemblement Bleu Marine.
Le pacte civil de solidarité connaît un succès certain : 901 000 Pacs en dix ans !
Contrairement à une idée reçue ce sont surtout les couples hétérosexuels qui se pacsent (environ 200 000 en 2010).
Les couples homosexuels ne représenteraient pour 2010 que 9 000 pacs.
Et chaque année, l’ensemble des pacs croit, au point de rejoindre très prochainement le nombre de mariage.
Le pacs semble bien adapté à notre époque. Il est souple, peu contraignant. Pour le rompre, une simple lettre recommandée si les deux partenaires sont d’accord ou une signification par huissier de justice.
On est loin du formalisme de la rupture du lien conjugal. Du coté des avantages en matière de succession ?
Une exonération de droit de mutation par décès à l’instar d’un couple marié.
Ils vont pouvoir se dire oui : la ministre de la justice a dévoilé ce mardi les contours du futur mariage homosexuel version française. Y figure le droit à l'adoption mais pas à la procréation médicalement assistée. Rencontre avec de futurs couples.
Le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a nié samedi avoir reçu de l'argent "au noir" et annoncé qu'il allait publier sa déclaration de revenus, répondant à des informations de presse qui citent son nom parmi les bénéficiaires présumés de paiements occultes.
"Je n'ai jamais reçu d'argent au noir", a déclaré Mariano Rajoy devant la direction du Parti populaire (PP), de droite, dont il est le président. Le chef du gouvernement espagnol est au cœur d'un scandale qui pourrait bien lui coûter son poste, si les accusations qui le visent sont fondées.
Dans un souci de transparence, il a annoncé, samedi, vouloir publier sa déclaration de revenus et de patrimoine. "Mes déclarations de revenus et de patrimoine seront mises en ligne à la disposition de tous les citoyens dès la semaine prochaine", a-t-il ajouté, promettant "d'exercer dans cette affaire la plus grande transparence".
"Pour moi l'argent n'est pas le plus important"
Il a assuré aussi qu'il n'avait pas décidé de faire de la politique son métier "pour gagner de l'argent". "J'ai perdu de l'argent, mais il se trouve que pour moi l'argent n'est pas le plus important", a-t-il dit.
Le nom de Mariano Rajoy, président du PP depuis 2004 et chef du gouvernement depuis 2011, est apparu jeudi, cité par le quotidien El Pais, parmi les bénéficiaires présumés de salaires occultes qui auraient été versés pendant des années à plusieurs dirigeants du parti.
Ce nouveau scandale, basé sur des documents comptables présumés de deux anciens trésoriers du PP, a soulevé une vague d'indignation dans le pays miné par la crise économique et le chômage.
Voici l'actualité présentée par votre camarade aujourd'hui:
Trois semaines après l'intervention militaire française dans le conflit au Mali, le président français François Hollande s'est rendu à Bamako, la capitale du Mali, en soulignant que « l'armée française terminera ses missions dans les semaines à venir ».
Il a pourtant ajouté : « les soldats français restent au Mali, à condition que le pays en ait besoin. » Leon Panetta, secrétaire à la Défense des Etats-Unis, a déclaré devant l'AFP que les démarches de la France au Mali étaient beaucoup plus rapides que ce qu'il avait pensé. Mais, il juge que, au vu des expériences des guerres américaines en Irak et en Afghanistan, l'enjeu est de savoir comment sortir de la crise.
Certains observateurs pensent que, à l'issue des actions militaires principales de l'armée française, l'avenir de la situation au nord du Mali est encore incertain : la paix définitive ou une guérilla potentielle ?
Le Figaro rapportait le 3 février que François Hollande, accompagné par le ministre des Affaires étrangères et le ministre de la Défense, avait effectué une visite dans le nord du Mali.
Son itinéraire n'a pas été divulgué avant la visite pour des raisons de sécurité. Il s'est rendu le 2 février à Sévaré, où il a été accueilli en héro par le président provisoire du Mali et les habitants locaux.
Lors de sa visite à Tombouctou, Hollande a été chaleureusement accueilli par l'armée française et le peuple malien. La foule qui s'était rassemblée sur place a crié « Merci la France ! » et « Vive la France ! », considérant que François Hollande l'avait libérée.
Selon la chaîne de télévision Europe 1, la France s'est d'abord emparée de l'aéroport pour pouvoir expédier des militaires et a ensuite récupéré trois villes principales dans le nord du Mali.
Mais en réalité, les rebelles armés ont été repoussés dans les régions montagneuses et les grottes à la frontière entre le Mali et l'Algérie. Il est par conséquent difficile de les exterminer. Le point a rapporté que Hollande et l'armée française craignaient effectivement que les régions montagneuses et les déserts dans le nord deviennent l'abri naturel des rebelles armés, comme c'est le cas en Afghanistan.
L'agence Reuters a prédit le 3 février que le champ de bataille futur serait dans le désert du Sahara, ce qui constitue un défi de taille pour l'armée française, le gouvernement malien et les troupes africaines.
Le Figaro a déclaré qu'il était difficile de garantir la victoire, car les troupes maliennes restent désordonnées et qu'elles ne sont pas bien équipées. François Hollande a promis que « la France offrira son aide pour la réunification globale du Mali. »
La seule question est : combien de temps et d'argent faudra-t-il pour parvenir à cet objectif ? Il est de plus en plus difficile de répondre à cette question. Il est probable que les rebelles armés reviennent. Selon le Nouvel Observateur, les jours à venir ne seront pas sans agitation pour Hollande. Il est difficile de convaincre le gouvernement malien de faire des concessions aux Touaregs. Les rebelles armés n'ont pas été touchés fatalement. Il est possible que la véritable guerre vienne seulement de commencer.
Voici un débat traitant de sa visite mais aussi d'un autre sujet d'actualité, la PMA.
On regarde.
Le gouvernement est en train d'envisager le mariage pour les homosexuels, c'était une promesse de campagne.
Démence pour les uns, accès à l'égalité pour les autres. Le projet de loi pour le mariage des homosexuels déclenche les passions. Mais à quatre jours de sa présentation en Conseil des ministres par la garde des Sceaux, Christiane Taubira, le nombre de Français favorables au mariage pour tous est en baisse selon le sondage de BVA publié samedi par le Parisien.
Une première en dix ans.
Des Français divisés
63% en 2011, ils sont 58% en 2012 à être favorables à l'union des homosexuels. Soit une chute de cinq points en un an seulement. Même constat en ce qui concerne l'adoption pour les couples gay. 56% des citoyens tricolores y étaient favorables en 2011, ils ne sont plus que 50% en 2012.
Autant dire que l'opinion publique est de plus en plus divisée à l'approche du débat parlementaire.
Les femmes seraient en revanche plus favorables que les hommes : 62% d'entres elles émettent un avis positif concernant le mariage gay contre 52% des hommes.
Même tendance concernant l'adoption (56% de la gent féminine contre 43% pour les hommes). Mais avec 77% d'approbateurs, les jeunes sont sans conteste les plus ouverts au mariage des homosexuels, ainsi qu'à l'adoption (70%). Dernier critère, la géographie. Hors Île-de-France, les Français sont davantage enclins à accepter l'idée du mariage gay (58%) que les Parisiens (56%).
Mariage pour tous: le gouvernement reste ferme après le succès de la manifestation des opposants.
La dernière fois qu'ils étaient descendus dans la rue, pour la plupart, c'était il y a 30 ans, en 1984, pour défendre l'école privée. La même France, à droite et au catholicisme revendiqué.
Une mobilisation imposante, à laquelle répondront les partisans du « mariage pour tous », le 27 janvier prochain, mais qui ne fera pas céder le gouvernement, bien déterminé à tenir la promesse numéro 31 du candidat Hollande : le droit au mariage, qu'on soit hétérosexuel ou homosexuel.
Alors, après la rue, place au Parlement. Le projet de loi arrive demain mardi en commission des lois. L'UMP a déjà déposé des dizaines d'amendements et la gauche redoute une obstruction parlementaire à partir du 29 janvier, quand le texte sera examiné en séance publique.
Obstruction et dérapages, comme il y en avait eu lors des débats sur le PACS il y a une douzaine d'années. Mais le débat restera parlementaire. Pas question d'un référendum.
Le gouvernement espère même convaincre quelques voix de droite et du centre en faveur du projet de loi, maintenant qu'on sait que la procréation médicalement assistée (PMA), fera l'objet, au printemps, d'un texte spécifique. Une volonté de François Hollande, toujours soucieux de décrisper la société française. Mais au regard de la journée de dimanche, il y a encore du travail.
David Assouline
(00:41)
Porte-parole du Parti socialiste
(Propos recueillis par Anthony Favalli)
L'ouverture de la PMA aux couples lesbiens sort du projet de loi sur le mariage gay.
C’était le cheval de bataille du chef des députés socialistes depuis deux mois. Et pourtant, Bruno Le Roux a dû céder face au gouvernement, et renoncer à un amendement qui ouvre la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes, dans la loi sur le mariage pour tous. Il avait été initialement adopté le 19 décembre 2012 par la majorité socialiste à l'Assemblée nationale. La PMA sera finalement associée à un nouveau projet de loi sur la famille. Bruno Le Roux, président du groupe PS à l'Assemblée, se défend de tout recul ou abandon sur la question.
Y a-t-il eu pression de l'Elysée sur les députés socialistes ?
Voici des commentaires sur la manifestation du dimanche 14 janvier.
La manifestation anti-mariage gay a fait rues combles dimanche à Paris. Ils étaient entre 340.000 selon la police et 800.000 selon les organisateurs. Après le succès de ce rassemblement, ils ont regagné leur domicile et repris leurs habitudes.
Entre 340.000 et 800.000 personnes ont manifesté à Paris dimanche contre le mariage gay. Malgré tout le gouvernement a annoncé qu'il ne changerait rien à son texte. Pourquoi ? Les explications de Christophe Jakubyzsin.
On écoute une émission de FranceInfo sur ce sujet.
Suite de notre journée spéciale consacrée aux médicaments. Va-t-on vers la fin des ordonnances et des prescriptions de médicaments ?
C'est peut-être une tendance qui répond en tout cas à l'inquiétude des patients. Alors, les médicaments, trop dangereux ?
Nous avons rencontré une femme qui a décidé de ne plus consommer de médicaments. Fini les molécules, Vix Forster a décidé de se soigner avec des plantes. Et selon elle, ça marche !
Alors doit-on cesser toute prescription afin d'appliquer le principe de précaution ?
Philippe Masquelier est médecin généraliste. Il est également président de la formindep, un collectif qui milite pour une information transparente et indépendante.Il nous a expliqué sa démarche.
Alors, quelles positions devons-nous adopter face aux médicaments ? Prenons-nous des risques en consommant des molécules ?
Voici un article qui parle des solutions pour aider les gens qui sont au chômage:
Pour renouer avec la croissance et faire baisser le chômage, l'Espagne doit faciliter l'accès au crédit et renforcer les mesures d'aides aux demandeurs d'emploi, a estimé lundi à Madrid Olli Rehn, commissaire européen aux Affaires économiques.
Si la quatrième économie de la zone euro a connu "des évolutions positives" au cours des derniers mois, le gouvernement doit encore s'attaquer au "goulot d'étranglement" que représente la difficulté d'accès au crédit pour les entreprises espagnoles, a estimé le vice-président finlandais de la Commission européenne, au cours d'une conférence de presse à l'issue d'une entrevue avec le ministre espagnol de l'Economie, Luis de Guindos.
De même, le gouvernement espagnol doit "compléter" sa réforme du marché du travail "par des politiques visant à aider les chômeurs à trouver un travail ou une formation", a souligné Olli Rehn.
L'Espagne compte le taux de chômage le plus élevé de la zone euro après la Grèce, avec 26,02% de la population active, et 55,13% chez les moins de 25 ans.
"Le chômage des jeunes est la première préoccupation du gouvernement. Toutes les politiques économiques du gouvernement ont un seul objectif: réduire le taux de chômage, et en particulier celui des jeunes", a de son côté affirmé Luis de Guindos.
Olli Rehn s'est dit "conscient de la situation difficile que vivent de nombreux Espagnols". Si 2013 sera "une nouvelle année difficile" pour le pays, elle devrait toutefois également être celle du "tournant vers la reprise", a-t-il ajouté.
Interrogé sur la possibilité d'une révision des objectifs de déficit publics fixés par la Commission européenne à l'Espagne, Olli Rehn a laissé ouverte cette possibilité, invitant à attendre la prochaine publication des prévisions de croissance de l'Union européenne, le 22 février.
Dans ses recommandations en matière de réduction du déficit, la Commission européenne "tient compte des perspectives de croissance et de la marge de manoeuvre budgétaire de chaque pays", a-t-il souligné.
S'il s'avère que la situation économique de l'Espagne s'est "détériorée de façon importante, nous pouvons réviser le rythme de réduction du déficit", a ajouté le commissaire.
L'Espagne, qui a enregistré un déficit de 9,4% du PIB en 2011, s'est engagée à le réduire à 6,3% en 2012, puis à 4,5% en 2013 et 2,8% en 2014. Mais le seuil visé pour 2012 devrait être largement dépassé selon nombre d'analystes.
La Commission européenne a elle-même reconnu la semaine dernière dans un rapport qu'il serait "très difficile" pour l'Espagne de respecter cet objectif, en partie du fait du dérapage budgétaire de certaines régions autonomes.
Les chiffres du déficit public pour 2012, qui doivent être publiés dans quelques jours, "mettront en évidence l'énorme effort fourni par toutes les administrations publiques pour réduire le déficit", a de son côté affirmé Luis de Guindos.
Le ministre n'a toutefois pas précisé si l'Espagne respecterait l'objectif de 6,3%.
Luis de Guindos a également assuré que les efforts de réduction du déficit étaient "équitablement répartis" entre l'Etat central et les régions autonomes, alors que certaines d'entre elles, telles la Catalogne, affirment le contraire.
Voici la situation en France avec des aides pour les chômeurs en fin de droits, on regarde.
La France compte 334 médecins pour 100.000 habitants, pourtant il y a des endroits où l'offre médicale est insuffisante pour répondre aux besoins de la population. Les praticiens sont mal répartis sur le territoire. Conséquence : des journées à rallonge pour les médecins qui voient parfois jusqu'à 50 patients par jour.
Faute de remplaçant, ce médecin de campagne du Tarn-et-Garonne, officiellement à la retraite depuis cinq ans, a repris du service. De plus en plus de médecins vivent cette situation en France.